Netflix : en une journée, ce film intense atteint des sommets dans plus de 80 pays !
24/04/2024 17:46
La première partie "Rebel Moon" avait déjà rencontré un franc succès. La deuxième partie du long-métrage de Zack Snyder ("Batman vs. Superman", "Watchmen") est disponible depuis ce 19 avril sur Netflix. En seulement 24h, le second opus s'est hissé au classement des programmes les plus visionnés dans pas moins de 83 pays, dont la France, l'Australie et les États-Unis. Netflix a proposé ces deux films de la même franchise à seulement quatre mois d'intervalles. Un pari réussi pour la plateforme puisque les deux parties ont rencontré un succès planétaire immédiat.
Rebel Moon, la première partie au succès mondial
Le 22 décembre dernier, Netflix dévoilait "Rebel Moon : Partie 1 - Enfant du feu" provoquait un engouement immédiat de la part des abonnés. Le long-métrage signé Zack Snyder avait cumulé 29 millions de visionnages dans le monde après seulement un week-end et 63 millions après 10 jours, selon le média Deadline. La première partie avait alors dépassé le film "Le monde après nous" qui avait passé trois semaines numéro 1 du top mondial. Ce 19 avril, quelques mois seulement après la diffusion de la partie 1, Netflix proposait le second opus intitulé "L'entailleuse". Les fans du premier long-métrage ont alors retrouvé Sofia Boutella, Ed Skrein et Djimon Hounsou dans leurs rôles.
L'entailleuse numéro 1 dans plus de 80 pays
Pour cette seconde partie, Kora et son groupe de guerriers poursuivent leur défense du peuple de Veldt. Un voyage dans le temps permet de révéler les secrets passés des rebelles mais aussi les raisons de leur ralliement à la cause. "Alors que la force d'un royaume entier s'abat sur une rébellion émergente, des liens indestructibles se forgent, des héros sont révélés et des légendes naissent", a résumé le site Allociné. Le film a réussi à séduire un grand nombre d'abonnés Netflix à travers le monde, mais du côté des critiques, l'avis est bien différent. Le magazine Télérama parle d'une "suite spectaculaire mais sans saveur". Le Parisien quant à lui, titrait "Toujours aussi kitsch" et critiquait la naïveté présente dans le long-métrage. Le média Écran large, évoquait cette seconde partie en la qualifiant de "désastre final".
