Paris Hilton maman de deux enfants, elle dévoile la triste raison pour laquelle elle a eu recours à une mère porteuse

Paris Hilton a surpris beaucoup de monde en accueillant non pas un mais deux enfants cette année. Avec son mari Carter Reum, épousé en 2021, l’héritière a, à 42 ans, enfin pu concrétiser ses rêves de maternité. Elle est même devenue maman coup sur coup d’un garçon, Phoenix, né en janvier 2023, et d’une fille, London, née en novembre (de cette même année donc). Deux bébés qui sont biologiquement les leurs, mais qui ont pu voir le jour grâce à une mère porteuse.

Paris Hilton souffre de phobies

Si elle n’avait pas besoin de se justifier, Paris Hilton a néanmoins tenu à expliquer pourquoi elle avait eu recours à la GPA pour avoir ses deux enfants. Une décision difficile à prendre, a-t-elle reconnu dans Paris in love, son émission de télé-réalité. Mais dans un entretien avec Romper, elle a aussi précisé qu’elle souffrait toujours de « stress post-traumatique à cause de ce que j’ai vécu à l’adolescence ». Elle a en effet passé 11 mois à l’école Provo Canyon dans l’Utah, un établissement pour jeunes en difficulté. En 2020, elle avait raconté dans le documentaire This Is Paris avoir été victime, comme d’autres résidents, d’abus physiques, psychologiques et sexuels – notamment des examens gynécologiques non consentis. « Si je suis dans un cabinet médical, si on me fait une piqûre ou quoi que ce soit d’autre, je fais une crise de panique et je n’arrive plus à respirer, a-t-elle avoué. Je savais que ce ne serait pas bon pour moi, ou pour le bébé, de grandir à l’intérieur de quelqu’un qui souffre d’une telle anxiété. » Elle souffre de véritables phobies, « l’accouchement et la mort sont les deux choses qui m’effraient le plus au monde », avait-elle déclaré à Glamour il y a quelques mois. Une autre raison pour laquelle Paris Hilton a aussi fait appel à une mère porteuse, c’est qu’elle ne sait pas comment elle aurait pu gérer une grossesse, car « mon emploi du temps est hors de contrôle ». Soulignant au passage que ses journées sont souvent planifiées un an à l’avance.« Il n’y aurait jamais eu le bon moment pour le faire parce que je n’ai littéralement pas le temps de faire quoi que ce soit dans ma vie », a-t-elle déclaré. Tout ceci explique aussi peut-être pourquoi elle a attendu que son fils aîné ait 1 mois avant d’apprendre… à changer une couche. C’est sa petite sœur Nicky, maman de trois enfants, qui a été son mentor. Et la nounou du bambin.

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