Prince Harry : ce surnom qui en dit long dont il était affublé durant ses années à Eton

Comme son frère William avant lui, le prince Harry a effectué une partie de sa scolarité au prestigieux Eton College, qui accueille les garçons âgés de 13 à 18 ans. A l’époque, l’héritier avait eu droit à un surnom bien particulier, prouvant qu’il ne se gênait pas pour enfreindre le règlement. En effet, comme le révèle l’historien Robert Lacey, le jeune homme était appelé “Hash Harry” en référence au haschich, la résine de cannabis. Un sobriquet inspiré par l’odeur qui émanait régulièrement de sa chambre, toujours selon les informations de l’historien. 

Prince Harry cash sur sa consommation de drogues

Dans son livre, Spare, le prince Harry a lui-même confirmé sa consommation de cannabislorsqu’il était à Eton. “Je ne me souviens pas de la façon dont on s’en procurait. Un de mes amis, je suppose”, écrit l’héritier dans ses mémoires. “A chaque fois qu’on en avait, on réquisitionnait une petite salle de bains à l'étage, où on mettait en place une chaîne étonnamment réfléchie et ordonnée. Celui qui fumait chevauchait le lavabo à côté de la fenêtre, le deuxième s'appuyait sur la cuvette, les deux derniers s'asseyaient dans la baignoire vide, les jambes pendantes, en attendant leur tour”, se souvient le prince.

Le frère de William a également admis avoir consommé de la cocaïne, quelque temps après. Une habitude qu’il aurait adoptée pour tenir le coup après le décès de sa mère. “J'étais un jeune homme de 17 ans profondément malheureux, prêt à tout essayer pour me sentir différent”, explique le prince Harry. Puis d’ajouter, concernant la consommation de poudre blanche : “Ce n'était pas très amusant, et cela ne me rendait pas particulièrement heureux, comme cela semblait rendre tout le monde autour de moi, mais je me sentais différent, et c'était le principal”. 

Prince Harry : il pourrait bien regretter son honnêteté

Cette confession du prince, bien que louable, risque de lui coûter cher. En effet, certains curieux se demandent si Harry a bien déclaré sa consommation de drogues dans les documents officiels lors de son arrivée aux Etats-Unis en 2020. Pour rappel, tous les demandeurs de visa doivent répondre à des questions sur leurs antécédents en matière de consommation de drogues lorsqu'ils remplissent le formulaire. Certains s’interrogent pour savoir si “le gouvernement accorde un traitement spécial aux célébrités de premier plan”. 

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